Nos actions
Pour affirmer notre engagement pour la protection de notre environnement, nous avons mis en place des méthodes de production et utilisons des technologies qui nous permettent de transformer nos convictions en actions concrètes.
Une rotation des cultures réfléchie pour produire sans altérer la structure du sol
Le lin tête d'assolement : Année 1
La culture du lin est une culture exigeante techniquement et sujette aux aléas climatiques mais qui peut avoir une bonne valeur ajoutée. Elle a la faculté particulière à décompacter les sols par son système racinaire qui s’infiltre en profondeur permettant à l’air et à l’eau de s’infiltrer
Couvert Végétal multi espèces avant pomme de terre
Il s’agit d'interculture dont tout ou partie est restitué au sol et agit tel un engrais vert.
Il réduit l'érosion des sols, le lessivage des nitrates, fixe le CO2 et l'azote et lutte contre l'envahissement des adventices.
Le plant de pomme de terre : Année 2
La pomme de terre est une culture qui demande au sol beaucoup de nutriments et de minéraux. La plantation et la récolte sont des travaux qui bouleversent la structure du sol. Nous le prenons en compte dans notre rotation (5 ans) en choisissant d’autres cultures dont les systèmes racinaires vont la reconstituer
Le blé tendre d’hiver : Année 3
La culture de cette graminée très utile pour nourrir nos volailles mobilise peu de ressource hormis en fertilisation azotée et elle en restitue une bonne partie au sol lorsque les pailles sont broyées à la moisson.
Couvert Végétal multi espèces avant betteraves
Il s’agit interculture dont tout ou partie est restitué au sol et agit tel un engrais vert.
Il réduit l'érosion des sols, le lessivage des nitrates, fixe le CO2 et l'azote et lutte contre l'envahissement des adventices
Betterave ou colza : Année 4
Toujours dans un souci de diversification des cultures qui concilie le potentiel économique de commercialisation et les qualités agronomiques de la plante, en 4eme année de la rotation, nous répartissons les surfaces entre la puissance des pivots restructurant de la betterave et du colza
Le blé tendre d’hiver : Année 5
La culture de cette graminée très utile pour nourrir nos volailles mobilise peu de ressource hormis en fertilisation azotée et elle en restitue une bonne partie au sol lorsque les pailles sont broyées à la moisson.
Couvert Végétal multi espèces avant Lin
Il s’agit interculture dont tout ou partie est restitué au sol et agit tel un engrais vert.
Il réduit l'érosion des sols, le lessivage des nitrates, fixe le CO2 et l'azote et lutte contre l'envahissement des adventices
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L'utilisation des couverts végétaux en interculture
Nous implantons systématique des intercultures de couverts végétaux d’espèces variées aux différentes vertus avant chaque culture de printemps. (lin, pommes de terre, betteraves)
Cette technique agricole ancestrale, aux fonctions auxiliaires multiples permet de réparer rapidement la structure du sol et de le fertiliser naturellement de façon organique.
Le mélange de différentes espèces aux propriétés physiologiques différentes nous permet de cibler plusieurs objectifs
Ainsi les légumineuses (féverole, trèfle et de vesce) fixent l’azote dans les nodosités de leurs racines qu’elles restitueront pour la culture suivante. Les graminées limitent la prolifération des adventices (Étouffantes)
l’incontournable Phacélie, est un ascenseur de nutriments qui maintient et améliore la structure du sol tandis que les crucifères telles que les moutardes occasionnent une décompaction naturelle en profondeur
Avant que le couvert ne fleurisse et perde une partie de ses vertus fertilisantes, il est détruit de différentes manières en fonction de la météo et du délai avant l’implantation de la culture suivante.
On peut le rouler lors de gelées qui le rende cassant ou le hacher à l’aide d’un rouleau à lames. L’objectif étant de le mettre en contact avec le sol pour qu’il puisse se dégrader en apportant des éléments organiques fertilisants efficaces.
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Des bandes de Miscanthus pour limiter l'érosion et favoriser la biodiversité
Le Miscanthus, aussi appelée « Herbe à Éléphant », est une plante herbacée vivace et robuste, qui n’est sujette ni aux maladies, ni aux attaques de rongeurs ou autres ravageurs. Bien entretenu et récolté tous les 2 ou 3 ans, le Miscanthus peut durer 20 à 25 ans.
Nous implantons des bandes de miscanthus à des emplacements stratégiques compte tenu de la topographie pour limiter l’érosion hydraulique en ralentissant le flux de l’eau qui les traverse.
C’est un élément de lisière favorable à biodiversité de la faune et de la flore endémiques à nos parcelles.
Il permet le refuge et la nidification pour les oiseaux et petits animaux. La grande quantité de biodiversité permettra à ces oiseaux mais aussi à des chauve-souris de se nourrir.
Planté perpendiculairement à l’écoulement de l’eau, le Miscanthus fixe les limons et nutriments, évite et protège contre l’érosion hydraulique et contribue ainsi au développement des bactéries et des champignons bénéfiques à l’écosystème.
A la fin de l’hiver, lorsque les cannes ont séchés et que la sève est descendue dans les rhizomes pour assurer le cycle végétatif suivant, nous les récoltons pour les utiliser comme paillage horticole.
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Agir dès maintenant pour l'environnement
Afin de limiter notre consommation d'énergie, nous récupérons la chaleur produite par les groupes froids de notre atelier volailles pour préchauffer l'eau chaude nécessaire au process.
Pour optimiser la croissance des pommes de terre tout en préservant les ressources en eau, nous pratiquons la micro-irrigation.
Nous sommes également producteur d’électricité avec plusieurs installations de panneaux photovoltaïques et nous orientons vers de l’autoconsommation
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L’agroécologie pour limiter l'utilisation de la chimie
Réduction des phytos en les substituant autant que possible par des actions mécaniques.
Destruction mécanique des couverts, binage des betteraves et passage de houe rotative.
Ou par des produits alternatifs de biocontrôle aux produits phytosanitaires pour la protection de la biodiversité.
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